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C’est dans les années 70, sous la mandature d’Emmanuel Agostini, qu’un permis de construire avait été donné pour la réalisation d’un centre de thalassothérapie sous la Cap Canaille. Ce permis a été annulé sous Gilbert Rastoin et les travaux interrompus. Depuis, ce qu’on appelle communément à Cassis « la ruine » est toujours là, le propriétaire n’étant pas tenu de la démolir. La municipalité n’a pas le droit de financer plus de la moitié du montant des travaux de destruction. Ceci étant, depuis 4 ans, Danielle Milon négocie avec les autorités compétentes -jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, ministère de la culture compris-, et toutes les autorisations à cette destruction ont été accordées.
Pour compléter le travail entrepris par la municipalité, quelques Cassidens, soucieux de l’environnement de Cassis, ont créé une association « Cap Canaille au naturel », qui compte bien mener à bien cette opération, en suivre le bon déroulement et veiller à ce que la végétation environnante soit respectée. En effet, cette ruine, outre la pollution visuelle, attire les squatteurs, notamment pendant la période estivale, ce qui multiplie les risques d’incendies dans cette zone fragile. L’association a besoin de tous les Cassidens pour récolter suffisamment de fonds pour le démarrage des travaux. Participez, selon vos possibilités, à la préservation de notre site, en envoyant vos dons à l’association «Cap Canaille au Naturel» MEVA, 4 rue Augustin Isnard.
Pour plus d’informations, une réunion publique est organisée le vendredi 19 septembre à 18h30, en Salon d’Honneur de la Mairie.